Un placement accessible offrant une forte liquidité du patrimoine immobilier

Grâce à la possibilité d’investir dans l’immobilier au travers de tickets aux montants unitaires nettement inférieurs aux modes de détention en direct, les OPCI sont accessibles au plus grand nombre d’épargnants.

Ce véhicule de placement permet également aux propriétaires d’actifs immobiliers, de les apporter à un ou plusieurs OPCI, augmentant ainsi la liquidité de leur portefeuille immobilier.

Une opportunité de diversification des placements et de déconcentration des risques

En sa qualité de véhicule de gestion collective d’épargne, l’OPCI offre une opportunité de :

– diversification, aussi bien en termes de classes d’actifs immobiliers que de zones géographiques
– déconcentration des risques en raison de leur mutualisation et de la diversité des actifs et des locataires

Un cadre règlementaire offrant une forte protection aux investisseurs

Afin de garantir la protection des investisseurs, les OPCI sont soumis :

– au contrôle de l’AMMC et d’entités indépendantes (commissaires aux comptes, évaluateurs immobiliers, établissements dépositaires)
– à un cadre légal spécifique prévoyant notamment une obligation de transparence (communication financière, évaluation à une fréquence au moins semestrielle des actifs immobiliers par des experts indépendants et agréés, publication à minima semestrielle d’une valeur liquidative).

Un cadre fiscal attractif

L’OPCI bénéficie d’un régime fiscal avantageux :

En cas d’apport d’actifs à un OPCI (*)  :
– différé de l’imposition à l’IS ou à l’IR au titre de la plus-value réalisée. Le paiement d’IS ou d’IR au titre de celle-ci n’intervient en effet qu’au moment de la cession partielle ou totale des titres de l’OPCI reçus en contrepartie de l’apport d’actif(s), avec un abattement de 50%

Pendant la durée d’investissement :
– les revenus générés par les OPCI sont totalement exonérés de l’IS
– les dividendes perçus par les personnes morales soumises à l’IS font l’objet d’un abattement de 60% sur l’IS correspondant

(*) Régime transitoire, actuellement en vigueur jusqu’au 31 décembre 2020